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LA LAMAL* – ÇA DEVIENT CHAUD – YAM INVEST

LA LAMAL* – ÇA DEVIENT CHAUD

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ALORS LES GRENOUILLES, ON SE RÉVEILLE ?

La démocratie et ses « services » fonctionnent comme une marmite à grenouilles.

* La LAMAL est le système médical imposé aux citoyens suisses. Je vous parle de ce système dans le cadre d’une nouvelle série d’articles de changements profonds de la société dont tient compte J E S S E L. J’ai été soumis longtemps à ce système que j’ai pu comparer à d’autres solutions depuis un peu plus de 10 ans que je suis au bout du monde.

BREF RAPPEL HISTORIQUE

La Loi sur l’Assurance MALadie a été introduite en 1994 par Mme Ruth Dreifuss, Ministre de la Santé, qui selon ses propres mots (en 2023) est « du bricolage depuis 30 ans » et elle-même reconnaît cette assurance comme « un échec partiel ». Aujourd’hui, on peut dire sans trop se tromper que ce sentiment est partagé par la plupart des personnes ayant des responsabilités dans ce domaine.

Mme Ruth Dreifuss @ Martial Trezzini

Tout d’abord un très grand MERCI à Mme Dreifuss qui a su reconnaître les limites et les faiblesses de son projet. MERCI Madame.

ÉTAT DES LIEUX

L’état est déplorable. Si l’assurance était un malade, on ne parlerait plus du besoin d’un traitement de choc, on dirait que son pronostic vital est engagé, son état est devenu critique et, selon ses croyances, qu’il est temps d’envisager la venue d’un prêtre.

C’est facile à comprendre, mais très difficile à accepter. La LAMAL a été bâtie en période « calme » et lors de laquelle on ne remettait (presque) pas en cause la solidarité fondamentale entre citoyens.

En temps de paix, la gestion « d’apaisement » de n’importe quel général ou politicien, suffit à la poursuite de la manœuvre, comme les premiers degrés sous notre casserole ne remettent pas en cause le bain (de cuisson) de la grenouille. On augmente petit à petit les primes, c’est douloureux, mais supportable. Comme on compense par des allocations, des subsides et des aides de toutes sortes, aucune grenouille ne saute encore hors de la casserole. Le personnel soignant est de moins en moins bien traité. On le licencie sans autres raisons qu’économiques, on rationalise. On fait même rêver d’une caisse d’État (comme si Swisscom, les CFF, la RTSR, les Cars postaux ou même la Poste étaient des modèles de bonne gestion et des solutions enviables).

Les primes augmentent chaque année. On s’habitue au changement de caisse maladie, cela occupe le « client », les courtiers d’assurance et fait passer l’hiver dans l’eau d’une casserole, augmentée de quelques degrés, de plus en plus insupportable.

Le financement est compliqué et n’a AUCUNE chance d’amélioration.

LE POINT DE BASCULE

Arrive début 2020 un virus, pas très loin de mon île, qu’on va appeler COVID 19. Pour moi cette intrusion n’est pas nouvelle, elle a commencé beaucoup plus tôt. Tout débute en fait en 2004, où l’émergence de la grippe aviaire H5N1 se propage en quelques semaines vers dix régions et pays d’Asie.

Lorsque, habitants encore la Suisse, nous partons faire notre voyage annuel en Asie, on nous traite d’irresponsables au mieux, de suicidaires au pire. Les Autorités (déjà elles) prévoient jusqu’à plusieurs dizaines de millions de morts et on nous conseille fermement de remettre à plus tard notre tour d’Asie du Sud-est.

Nous allons vivre alors une expérience formatrice inoubliable. Le nombre des décès prévus par les Autorités ne seront jamais atteints. On parlera de quelques centaines de décès en tout. Par contre, nous allons vivre le Tsunami, non prévu par nos Autorités et qui fera des centaines de milliers de morts. Nous rentrerons sains et saufs de l’un comme de l’autre, mais aurons appris définitivement que les prévisions sont très aléatoires et que le danger ne se cache pas là où on croit.

EXPÉRIENCE ACQUISE

Lorsqu’en février 2020, on commence à parler d’un virus en Chine. Nous habitons sur une île en Asie du Sud-est depuis 10 ans environ. Les relations aériennes seront suspendues en juillet de la même année et nous ne pourrons reprendre l’avion que le 5 mai 2022.

Expérience très enrichissante. Côté médical, rien à craindre. Les services hospitaliers sont un exemple de capacité et l’hygiène sanitaire ancrée dans la culture se fait « par défaut ». Une grande leçon. Ici, au bout du monde, le nombre des décès est très faible avant l’arrivée des vaccins et ils sont détaillés publiquement avec les raisons concomitantes. Rien à cacher. Personne n’a rien à gagner à tricher ou à mentir. Grande leçon de sincérité.

Parallèlement, les chiffres comparables qui sortent en Suisse, France ou USA (3 pays que je suis de façon assidue) sont étonnants. Les politiques coercitives également. On se met à applaudir les infirmières, pour ensuite, lamentablement, les mettre à pied sans traitement. Je n’entrerai pas dans le détail. Vous avez vécu cet épisode comme moi.

Tout cela dans le cadre d’une « naïve » confiance et soumission dans la politique sanitaire de nos Autorités. Celles-ci se sont appropriées indûment, souvent par la force, le monopole de la résolution de notre problème de santé, d’une démarche unique et confiscatoire de notre liberté la plus sensible : la gestion de notre corps.

CE QUE J’AI APPRIS

Les Autorités Politiques ont commis sinon un crime, du moins un large abus de pouvoir. Cet abus est répréhensible. Aujourd’hui, 3 ans plus tard, au pire, nous devrions avoir au AUDIT pour que cela ne se reproduise plus jamais, au mieux, une option « libre arbitre » pour ne pas être empoisonné par le système. Ce qui n’est hélas pas le cas… encore.

LES CHIFFRES LE PROUVENT

Les Autorités n’ont pas su remplir leur rôle et ont volontairement menti. Ce qui me paraît difficile à admettre pour l’Autorité détenant le MONOPOLE de la gestion de la SANTÉ. Elles ont en quelque sorte trahi la confiance mise dans l’accord passé avec le peuple en 1994.

Non contentes d’appliquer un système qui de l’avis d’une grande partie des utilisateurs est insatisfaisant, cher et dans le cas de Covid 19 est allé au-delà de son mandat, elles l’ont imposé en abusant certainement du droit, mais de toute façon de leur pouvoir. Pas moyen de choisir une autre solution. En aucun cas.

Bravo les Autorités, vous qui avez augmenté le feu sous la casserole des primes en particulier et de la démocratie en général.

Vous, les grenouilles, qui êtes de moins en moins bien dans votre casserole, il est peut-être temps de vous poser la question :

Pourquoi les « personnes les plus intelligentes » du monde ont-elles échoué lamentablement lors de la pandémie ?

Tableau illustrant l’article cité ci-dessus.

Aujourd’hui, automne 2023, alors que les véritables chiffres sont disponibles et que de nombreuses analyses expliquent dans le détail et avec beaucoup d’acuité ce qui s’est réellement passé, il est temps de prendre son destin en main.

Allons les grenouilles ! C’est peut-être l’occasion de sortir de la casserole et de devenir des personnes plus intelligentes.

Ici, au bout du monde, je ne suis pas soumis à la LAMAL. J’ai appris qu’il y a d’autres solutions, excellentes, respectueuses de la personne en besoin de soins, et tout autant respectueuses des infirmières. Ces options ne se font pas au détriment de la liberté de l’individu, mais avec sa pleine collaboration.

J E S S E L propose d’autres solutions, transparentes, limpides et responsables.

J E S S E L intègre ces solutions à son bâtiment.

J E S S E L – HUMAN FIRST