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LE PROBLÈME C’EST LA FAÇON D’ENVISAGER LE PROBLÈME – YAM INVEST

LE PROBLÈME C’EST LA FAÇON D’ENVISAGER LE PROBLÈME

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POUR QUOI, POUR QUI CONSTRUIT-ON ?

ZONE THERMIQUE. Pour rappel, pour les excités du climat, cela n’a RIEN À VOIR avec la mode d’urgence du réchauffement climatique.

On construit pour PROTÉGER l’HOMME et lui permettre de (sur)vivre en lui procurant une ZONE DE CONFORT – principalement thermique – vitale.

C’est en tout cas ce qu’on nous apprend à l’école d’architecture. L’homme a une zone de confort (lire : survie physique) très étroite. Sans aucune protection, il ne peut survivre – selon un diagramme célèbre de M. Olgyay – que dans une plage d’environ 6° à 7° (entre 21° et 27° environ).

Quelques degrés peuvent être compensés par des habits évidemment, mais aussi par de l’ombre, de la ventilation, un chauffage, une activité physique, voire du rayonnement solaire.

Jusqu’à un certain point. Malgré tout la zone de confort est très limitée. Tout cela est technique, mesurable et tous les bâtiments (et même une très grande partie des habits) remplissent ce rôle admirablement bien depuis longtemps.

Depuis toujours, dans le monde entier, les hommes construisent des cheminées dans leurs maisons, se protègent ou valorisent le vent, le soleil et l’humidité en se réfugiant sous des toitures étanches. Techniquement sans grande évolution.

La preuve est donnée par le parc suisse de l’habitat collectif dont plus de 25% date d’avant la seconde guerre mondiale et seulement un peu moins de 20% est postérieur à 2001.

L’architecture fonctionnelle ne suffit pas pour faire un bon logement.

On sait que l’amélioration technique a été fulgurante dans beaucoup de domaine. Sauf que l’évolution, même technique, dans l’immobilier est quelque chose de « tabou ». On a horreur du « processus d’amélioration continue ». C’est hélas très facile à comprendre.

C’est un marronnier très agréable pour les politiciens, car il ne se résout pas en une ou deux législatures. Voilà de quoi les occuper… à être réélus. Mais c’est surtout parce que ces politiciens ne veulent pas faire face aux réels problèmes.

Sauf que la PANDÉMIE avec son CONFINEMENT arbitraire a peut-être modifié cet état de fait. C’est ce que Mme Martha Thorne, architecte et directrice du prix Pritzker – sorte de prix Nobel de l’architecture – prétend. « Une bonne architecture est davantage que fonctionnelle (…). Lors du confinement, nous avons pris conscience de l’importance de nos espaces de vie et de leur influence sur notre bien-être ».

Mme Martha Thorne

Mon papa est né en 1927, son fils en 1955 et nous sommes les deux aujourd’hui contents de ne plus avoir à conduire uniquement les voitures de nos années de naissance respectives. Cependant, nous avons habité dans un bâtiment antérieur à 1927 pendant longtemps sans autre véritable choix.

Pourquoi acceptons-nous de vieux appartements démodés et sans confort, alors que nous avons l’habitude de changer de voitures et d’autres appareils beaucoup plus souvent ?

Le déclin et la chute d’une icône en 3 images et 3 dates – 1927 – 1955 – 2005.

Citroën en 1927 (année de naissance de mon papa), Citroën en 1955 (année de naissance de son fils) et dernière Citroën en 2005 construite en Europe, vendue à moins de 25’000 exemplaires. Un véritable flop. Certainement parce que répéter, même un succès, ne garantit pas sa pérennité dans une période de mutation.

Ce que Citroën n’a pas compris, c’est que l’amélioration, coup par coup, ne suffit pas. Il est nécessaire de revoir entièrement le mode de faire. N’est-ce pas Kodak ?

Un exemple instructif, le rachat de DACIA par Renault.

Lorsque Monsieur Schweitzer rachète pour Renault la marque DACIA, c’est l’étonnement. DACIA est une marque roumaine, qui à l’époque n’a pas une bonne réputation et personne ne parie un seul « leu » sur un marché européen déjà encombré.

Et pourtant, ce qu’il fait est remarquable d’intelligence. Coïncidence pure ou hasard du destin, c’est en 2005 que la DACIA arrive en France. Et c’est un vrai succès.

Une voiture (ici une Golf) a plus de 30’000 pièces différentes. Les ingénieurs de RENAULT vont revoir toutes les pièces de la DACIA.

Lorsque RENAULT a présenté la première DACIA, remodelée par les ingénieurs maison, il a annoncé vouloir commercialiser la voiture la meilleure marché d’Europe. Ce qu’il a fait et a continué de faire pendant des années. Le prix de la voiture de base en Allemagne était inférieur à € 10’000.- ou inférieur au prix de 4 pneus spéciaux montés sur des gentes de sport d’une voiture haut de gamme.

Dans le cas de la Golf, c’est une mentalité de « composants », comme dans l’habitat. Dans le cas de la DACIA, c’est une réponse de « fonctionnement ». Cela fait toute la différence. Il existe d’excellentes vidéos pour le détail de son évolution.

Même limité au domaine technique, dans l’habitat collectif, nous ne savons pas construire les bâtiments d’aujourd’hui (et de demain). Nous nous contentons de faire, comme Citroën, du « relookage » avec un nombre de pièces différentes que nous ne maîtrisons pas pour un fonctionnement qui nous échappe totalement

Les propriétaires d’un modèle T se sont arrêtés. Moment « social ». – @ US CENSUS BUREAU

DACIA n’a fait qu’appliquer la recette des modèles T de Henry Ford. Chaque année, Henry Ford a amélioré la qualité et baissé les prix de son modèle T, passant de US$ 850.- en 1908 à US$ 290.- en 1927. (Sauf que le pouvoir d’achat de 850 dollars en 1908 équivaut à environ 1 607,61 dollars en 1927. Le prix de US$ 290.- est donc un prix réel divisé par 5.5 du prix de base de 1908).

Pour réaliser cet exploit, la voiture ne comptait que 100 pièces différentes. Elles sont restées « standard » du premier modèle T au dernier, de 1908 à 1927. Chaque voiture hors d’usage était donc une source de pièces détachées réutilisables. Ford aura construit plus de 16 millions de modèles T, à raison d’une automobile toutes les 24 secondes lors de l’arrêt de la construction de ce modèle.

Ford a conçu une voiture si bon marché que n’importe qui pouvait l’acheter et si simple que n’importe qui pouvait apprendre à faire l’entretien dont elle avait besoin. Ce second point est important et trop souvent oublié.

Le prix en lui-même n’est pas suffisant. Ce sont les nouvelles possibilités, les aventures qu’il offre qui fait son attrait.

Une fois que les clients l’ont compris, ils se sont appropriés leur voiture et l’ont adaptée selon leur envie. Ces clients ont eu accès à des expériences nouvelles, des voyages, des rencontres grâce à cette facilité. Ils ont rapidement apporté des changements, ainsi les modèles T ont évolué dans toutes les directions et ont été utilisés à d’innombrables fins.

C’est exactement la question qu’auraient dû se poser les ingénieurs chez Citroën avant de réaliser leur voiture en 2005 et c’est certainement exactement la question que Monsieur Schweitzer s’est posé avant de racheter DACIA.

C’est ce qui se produira quelques années plus tard avec internet, le téléphone mobile, les ordinateurs portables, le travail à distance, les traductions simultanées et les informations en temps réel sur tout ce que se passe dans le monde.

Les personnes s’approprient un outil lorsque qu’il est abordable et facile d’utilisation. Cela crée et nouveaux marchés que développent les utilisateurs eux-mêmes.

C’est précisément ce que NE FAIT PAS la construction de logements abordable aujourd’hui.

LE MODE DE CONSTRUIRE EST À REVOIR

Ne construire uniquement que pour des raisons techniques (et financières) sous forme d’un « relookage » du passé qu’on répète, est définitivement dépassé.

QUE FAIT J E S S E L – DIFFÉREMMENT – POUR LES RÉSIDENTS ?

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, va rendre l’habitat complètement différent.

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, a repensé TOUTES les pièces de l’habitat. Il les a analysées, les a remises en cause, en a revu le nombre à la baisse, les a simplifiées. Il a facilité leur mise en œuvre et propose des solutions plus solides, plus utiles et devenant de plus en plus économiques qu’il met à disposition des Résidents, comme outil de base qu’ils vont s’approprier.

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, a revu le processus de RÉALISATION et de PRODUCTION (permis et construction notamment). L’habitat participe à un renouveau du modèle collectif. Il redéfinit totalement le modèle grégaire rendu caduque et hors d’usage après avoir été rendu obsolète par la chute de confiance suite au confinement.

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, a fait plus encore. Car l’habitat collectif n’est qu’UN des ÉLÉMENTS faisant partie d’un ensemble beaucoup plus grand qui forme le contexte d’accueil de l’habitant. L’appartement seul ne résout pas tout et ne suffit pas seul au confort des habitants.

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, l’a compris. Il n’est pas simplement un outil, il permet de nouvelles vies sociales. Le bâtiment ne vient pas seul. Il vient avec un CONTRAT SOCIAL qui intègre notamment les solutions aux problèmes de santé, de sécurité, de retraite et d’échange qui sont inclus.

Et ça change tout.

J E S S E L, comme pour DACIA ou la FORD T, sait qu’en partant de ZÉRO, il faut poser les bonnes questions et surtout ne pas s’embarrasser de coutumes, d’usages et d’habitudes.

J E S S E L est une nouvelle façon de voir la vie grégaire.

J E S S E L offre un projet qui traite L’ENSEMBLE des éléments de vie en société.

J E S S E L fait un habitat collectif étonnant, stimulant et accueillant, innovant totalement le domaine.

CHEZ J E S S E L

NOUS FAISONS UN BÂTIMENT POUR REDÉFINIR LA VIE SOCIALE.

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Si la PANDÉMIE et son CONFINEMENT vous a fait prendre « conscience de l’importance de vos espaces de vie et de leur influence sur votre bien-être », si vous décidez que vous avez droit – vous aussi – à une autre qualité de vie, alors J E S S E L peut être une option pour vous.

J E S S E L – Human first