NOUS AVONS PRIS UNE DÉCISION DIFFICILE
KOBÉ le 17 janvier 1995, 6 437 morts, 43 792 blessés
NOS DIVERGENCES ÉTAIENT DEVENUES INCONCILIABLES.
Nous avons fait de notre mieux, hélas sans succès. Ce n’était pas suffisant. C’est devenu impossible.
Nous n’achetions plus leurs mensonges.
Et de manière assez surprenante, une large part des gens côtoyés ne les achetaient plus non plus.
La perte d’un rêve, d’une relation illusoire. Survivre ne suffisait plus. Nous voulions vivre.
LA COÏNCIDENCE
À Taïwan, nous avions vécu un tremblement de terre. Rien de très grave pour nous, ni de très important. Cependant, assez fort pour faire quelques victimes et nous faire vivre quelques répliques heureusement sans conséquences.
Nous nous sommes mis à réfléchir autrement que statistiquement, et plutôt que d’envisager le problème théoriquement selon la résistance des matériaux, nous l’avons abordé selon la résilience des humains.
NOUS SOMMES ALLÉS AU JAPON
Le musée du tremblement de terre de Kobé, au Japon, a été l’élément déclencheur. Ce musée, destiné d’abord aux élèves qui y viennent en car, est très didactique. Il n’y pas, malgré le nombre de personnes qui ont été blessées ou qui sont mortes, ce côté larmoyant des commémorations de nos monuments dédiés aux morts d’une de nos sinistres guerres.
Certaines décisions ont été prises par les autorités japonaises, et même si elles n’empêchent pas les nouveaux séismes, elles rendent leurs dommages beaucoup moins mortifères. Mais pour ça, il faut le vouloir.
LA GOUTTE DE TROP
Quand la reconstruction après le tremblement de terre en Turquie et en Syrie ne reçoit même pas une fraction des sommes allouées à la destruction en Ukraine, nous avons réalisé que c’était trop.
En comparant l’attitude de nos autorités suisses et européennes actuelles à l’importance d’une réaction de bon sens, nous avons compris que quelque chose d’irréversible était en train de se passer.
Nous avons cessé de publier nos textes de voyage.
EN INSTANCE DE DIVORCE – SOCIAL
Début 2024, il était déjà devenu évident que nous avions été escroqués par nos autorités et leur fausse histoire de covid. Sans aucune repentance de leur part ou discussion afin de trouver ce qui s’était réellement passé, nous allions à une rupture.
Il y avait suffisamment de preuves et de personnes de talent qui dénonçaient la façon dont elles avaient été traitées. Il était devenu évident que la société était en instance de divorce.
Nous n’avons à aucun moment trouvé ce minimum d’honnêteté de nos autorités et de leurs laquais, les journalistes, qui aurait permis une mise au point, condition minimale avant d’envisager de continuer la vie en commun.
Depuis l’abus de pouvoir de la pandémie et de son confinement, nous attendions un regret, une explication, qui ne sont jamais arrivés. Ils n’arriveront vraisemblablement pas.
Il est devenu hors de question de passer là-dessus.
Ces mensonges malhonnêtes ne fonctionnent plus sur un nombre grandissant de personnes. Ce qui est remarquable est que ces gens qui se sentent trahis, ont en commun un choix absolu de non-retour à l’ancienne organisation sociale.
Nous avons été enrôlés de force, sans cesse manipulés, dans une société, sans moyens d’en sortir ou d’en changer fondamentalement ses rapports.
NOS DIFFÉRENDS SONT IRRÉCONCILIABLES.
Nous avons pris des routes séparées. Nous prenons nos distances.
Nous allons divorcer des choix et des manières de vivre de cette société.
TOUR DE MONDE 2024
NOUS AVONS FINI NOTRE TOUR DU MONDE EN 7 MOIS
Après une dernière fondue au fromage à Singapour, nous sommes de retour sur notre île. En 7 mois, nous avons franchi 14 frontières et visité pour la première fois 5 pays.
Partout, nous avons été très bien accueillis. Chaque pays a sa propre manière de vivre. Les comparer non seulement à la culture de nos origines, mais également à celle que nous partageons depuis bientôt 13 ans en Asie, a été très formateur et très enrichissant.