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LA VÉRITÉ SOCIALE ACTUELLE – les raisons de l’échec – YAM INVEST

LA VÉRITÉ SOCIALE ACTUELLE – les raisons de l’échec

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SUR QUOI SE BASE NOTRE VÉRITÉ SOCIALE ACTUELLE ?

Aujourd’hui, on se trouve avec une organisation sociale, usée, en fin de vie. Elle a totalement perdu ses repères et notre confiance dans les Autorités qui l’a gouvernée jusqu’à présent. Ce système ne répond plus aux questionnements, n’apporte plus de solutions valables. Les gens ne se retrouvent plus dans la façon dont ils doivent gérer leurs problèmes, ayant perdu la foi dans leurs Autorités et leurs pseudo-solutions, issues uniquement en fonction de leur compatibilité avec leur propagande.

LA VÉRITÉ SOCIALE ACTUELLE EST UNE (DI-)VISION DE MASSE

Notre DI-VISION SOCIALE actuelle, vient du modèle sur lequel elle se base. Par son mode de présenter, l’ ÉGALITÉ comme donnée de base, puis de traiter les problèmes en fonction de ce DOGME, notre DI-VISION SOCIALE s’est détachée des préoccupations des HUMAINS.

Il m’a fallu un certain temps avant de me rendre compte, que notre DI-VISION ne présenterait JAMAIS autre chose qu’une solution sortie d’un moule unique, d’un dogme qui convienne à la DI-VISION du système et ne le mette jamais en péril.

Ce m’a rapidement expliqué d’où venaient la suite d’échecs répétés et de mensonges grossiers d’un système établi, et pourquoi il allait s’ auto-détruire par arrogance. Le but de l’ « ancien » système est, et a toujours été, sa survie et sa reproduction. Les gens importaient peu, et se faisaient manipuler par sa PROPAGANDE.

Nous sommes tous – à différents niveaux – frustrés de son absence de solutions. Celles qu’on nous proposait ne correspondant jamais tout à fait à nos besoins réels.

CETTE VÉRITÉ EST DEVENUE INCOMPATIBLE AVEC NOTRE VIE SOCIALE ACTUELLE

Ce qui arrive ne m’étonne pas. J’ai prédit que le système actuel ne pourrait survivre selon son mode de faire. J’en ai même fait un blog. Principalement les réponses et les façons de faire de – ce qu’on peut dorénavant appeler – l’ « ancien système » ne correspondaient à RIEN depuis longtemps.

En fait, depuis que j’ai obtenu mon « droit de vote », j’ai – sauf à une ou deux très rares exceptions près – toujours été du côté « DU PLUS GRAND NOMBRE« , mathématiquement parlant. Cela aurait dû constituer une « majorité« . Malgré la répétition et une « avance notoire » sur le second, le point de vue défendu n’a jamais été pris en compte. Un autre groupe, souvent le second, a toujours emporté la réalisation de ses vision, soit disant en obtenant une « majoritéacceptable » pour le système.

Comment cela est ce possible ? Parce que, en réalité, je n’ai JAMAIS VOTÉ. Je fais partie du groupe des gens qui n’ont jamais accepté que leurs choix soient limités entre une PIZZA NAPOLITAINE et une PIZZA HAWAÏ. Et je n’étais pas le seul dans ce cas. Généralement nous étions tellement que nous avons obtenue la réelle majorité MATHÉMATIQUE.

Une RÉELLE MAJORITÉ dont le système n’a – historiquement – pas tenu compte. Ça ne pouvait pas durer. Je le savais. J’en ai fait une blog entier. Nous en reparlerons.

LA TAILLE SOCIALE UNIQUE –  » one size fits all » – EST MORTE

Fini le temps où deux options différentes sur la forme, (napolitaine avec gluten et fromage ou Hawaï avec gluten et fromage), mais semblables sur le fond ( pizza ou…. pizza ; les deux avec gluten et fromage), étaient IMPOSÉES À TOUS, sans autre possibilité que de s’y soumettre. La liberté de choix – même en démocratie – se résume en effet à choisir entre l’option PIZZA NAPOLITAINE ou l’option PIZZA HAWAÏ.

Si vous n’aimez pas les PIZZAS, ou le FROMAGE ou que vous ne supportez pas le GLUTEN, vous ne pouvez que faire l’impasse sur le repas.

Si pour ne pas cautionner cette obligation, vous devenez ABSTENTIONNISTE, on va vous accuser de tous les maux. Mais vous savez que vous méritez mieux. Vous n’êtes pas la PERSONNE MOYENNE à qui on peut imposer des solutions médiocres et bancales.

L’ABSTENTIONNISME n’est rien d’autre qu’un refus des choix que le système nous a proposés (lire : imposés). La fameuse démocratie a montré ses limites. Elle n’a jamais cherché à améliorer ses points faibles. Les Autorités ne s’en sont – en VÉRITÉ – jamais soucié. Ça ne pouvait pas durer.

Mais croyez-moi, les Autorités bien qu’incompétentes, sont avant tout désemparées. Un monde qui bouge et qui évolue à cette vitesse ne peut être dirigé par des Autorités issues – précisément – du système qui les a investie du pouvoir afin de favoriser le statu quo et la protection farouche des privilèges acquis, contre une garantie d’être réélus.

L’ERREUR VIENT DES DOGMES DU MODÈLE DE BASE

Les prises de décisions sont faites sur la base DÉMOCRATIQUE. C’est banal de le dire, mais ce modèle ne permet pas la diversité. Vous devez vous contenter d’être NOIR ou BLANC.

Le principe de choix ne va pas dans le détail, ni dans la nuance. Dans tout ce que nous présente cet ancien système, rien n’est réellement nouveau. Ce qui apparaît comme nouveauté, n’est le plus souvent qu’une nouvelle propagande bien tournée.

Les Autorités ne développent pas, sauf exception (au singulier), un système ÉVOLUTIF. Pensez à la manière coercitive dont elles nous ont imposé l’économie d’énergie des ampoules électriques. Un modèle de muflerie. Je ressortirai mon texte à l’occasion du chapitre traitant de l’énergie.

LEUR PROPAGANDE ÉLECTORALE POUR SEUL PROGRAMME DE LÉGISLATURE

Les Suisses, pensez aux révisions successives de l’ AVS. Elles ont toutes essuyé un échec lors de leurs présentation devant le corps électoral par les Autorités. En désespoir de cause et grâce à un coup marketing de génie, la dernière en date a reçu l’accord des votants.

Cette 13ème (lol) rente a été bien vendue, sauf que personne ne sait comment la financer maintenant qu’elle a été acceptée. Peut-être aurions-nous pu proposer un financement en même temps. Mais alors certainement cette ultime révision aurait été un échec supplémentaire.

Elle ne résout pas du tout le problème des rentes de vieillesse. Elle n’est pas une solution. Elle n’apporte rien de nouveau. Mais pour un temps les Autorités se sont débarrassées du problème. Rien n’est résolu et je suis prêt à parier que la prochaine étape ne sera plus possible dans des demi-vérités, un monopole d’ État à sauver et des règlements de plus en plus impossibles à respecter.

Ce monopole, nourricier de l’incapacité, du manque de courage de remettre en question les dogmes de base, est le principal obstacle de trouver une SOLUTION RÉELLE. Il faut pour cela créer une autre façon de faire, d’une nouvelle VÉRITÉ. Les mensonges ou les semi-vérités, voire les vérités travesties, ne servent à rien d’autre qu’au transfert des privilèges.

LEURS ÉCHECS SONT PATENTS

  • Les AUTORITÉS ne se remettent pas en cause.
  • Les PRIVILÈGES ne sont pas abolis.
  • Les PROBLÈMES ne sont JAMAIS résolus.

Le constat est sans appel. On ne peut pas attendre des Autorités qu’elles nous amènent une solutions. Je crois que c’est Einstein qui disait, les solutions ne viennent JAMAIS de ceux qui les créent.

Car leurs propositions sont habituellement politiquement aguichantes et pimpantes, saupoudrées d’un (gros, souvent très gros) zeste de menace. Cependant elles ne résolvent pas les problèmes (même souvent empêchent leur résolution ou créent d’autres problèmes) et les préoccupations des votants restent ENTIERS.

Croyez-moi vous êtes beaucoup plus. Vous méritez qu’on prenne soin de vous, en acceptant vos nuances. Vous êtes une personne unique.

UNIQUE BUT NOT ALONE, comme l’annonçait un slogan pour la construction d’une école au Laos. Ce qui est totalement admissible. Car ce qui vous convient parfaitement, peut ne pas convenir à d’autres. Et inversement.

Mais avant :

QUITTONS LE TOUT OU RIEN