Un système de combinaisons simples, efficaces et réellement modulables (3 portes sont suffisantes).
L’habitat – bien pensé – est la base de la vie en société.
Son châssis de base (lire : structure d’accueil) repensée, présente les solutions techniques répétitives qui sont amorties sur plusieurs – dizaines d’ – immeubles. On le fait déjà partiellement (qui réinvente à chaque fois une autre dimension de briques ?), JESSEL pour le châssis de base l’a optimalisé.
LES STATISTIQUES NE DISENT RIEN DE LA RÉALITÉ DE L’HABITANT.
Pour plus du TIERS de la population, les statistiques ont créé une SEULE CATÉGORIE un peu fourre tout.
Pour une même catégorie – personne seule – la réalité est très différente d’une personne à l’autre.
36.02 % des ménages suisses sont constitués d’UNE SEULE PERSONNE. Mais c’est quoi une PERSONNE SEULE ? Ça vit comment ? Ça a quels besoins ?
Comment cette SEULE CATÉGORIE un peu fourre tout évolue-t-elle ? C’est quoi un peu MIEUX et/ou un peu MOINS BIEN pour chaque constituant de cette catégorie ? Qu’est-ce que notre structure JESSEL peut faire pour prendre en compte – réellement – ces résidents ?
Peut-on imaginer d’autres façons de cohabiter ? Mais surtout peut-on le faire de manière pragmatique, réelle et modulable ? Peut-on le faire PAR DÉFAUT ? C’est-à-dire que le résident aurait le choix d’utiliser ces avantages selon ses désirs, ses besoins, ses problèmes et essentiellement selon ses choix. Avec souplesse.
Parce que les RÉSIDENTS sont plus que des statistiques.
Ils passent d’une catégorie à l’autre, y reviennent – ou pas – sont sédentaires, semi-sédentaires ou temporaires.
Et lorsqu’on les intègre à une autre catégorie de résidents, ils ne sont plus des personnes seules, ils deviennent des cohabitants. Ils trouvent une place, un rôle.
Mais on n’est qu’à mi-chemin. Et c’est à partir de là que JESSEL devient véritablement passionnant.
Je vous en parle dans un prochain article.
Avant, il faut que je vous parle d’une mutation historique qui va changer le rapport du choix du lieu d’habitation.