Le bâtiment JESSEL est repensé entièrement, comme l’a été la structure de base de la Dacia.
STRICTEMENT – RÉSERVÉ AUX « AUTO-ENTREPRENEURS SOCIAUX »
ÉTAT DES LIEUX – UN MODÈLE VÉTUSTE
Nous avons un parc immobilier en Suisse dont le 25 % date d’avant 1946 et un autre 40 % d’avant 1980. Le manque de terrains, la lourdeur des procédures pour l’obtention de permis de construire et des lois comme la LAT favorisent une FORTE RENTE FONCIÈRE qui restreint encore les occasions de faire différemment.
CETTE RENTE FONCIÈRE PÉNALISE L’ÉVOLUTION
Les bâtiments d’habitat ne sont pas devenus plus chers. Ils se perdent plus longtemps dans des exigences politico/administratives qui les rendent électoralement compatibles, mais fonctionnellement obsolètes.
LE NOUVEL HABITAT COLLECTIF NE SERA PAS LE FAIT DE NOUVELLES NORMES TECHNIQUES
L’amélioration ne suffit pas. Il faut changer d’état d’esprit. L’évolution se fait par mutation.
JESSEL est nettement meilleur marché, car comme les ingénieurs de chez Renault lorsqu’on leur a annoncé le rachat de Dacia, nous avons repris le problème à zéro (voir image en exergue). Dacia ne se serait jamais vendue avec une qualité médiocre ou même une mauvaise réputation due à une prétendue mauvaise qualité.
Le mot d’ordre a été donc de faire quelque chose – certes basique – mais techniquement exigeant. Il a été possible d’amortir le châssis de base sur une grande quantité d’unités. Cela n’est jamais possible dans l’immobilier.
NOUS ALLONS PROUVER LE CONTRAIRE
Les gens auront le choix d’habiter un immeuble, construit de façon techniquement réfléchie. Les besoins ont été repensés et sont fournis sans option inutile, superflue ou coûteuse.
Les options « clinquantes », avec chichi ou stupides en termes de vie en société, sont supprimées. Elles n’apportent pas grand-chose dans la vie réelle.
UN HABITAT COLLECTIF SOUCIEUX DES COÛTS SOCIAUX
Elles sont remplacées par d’autres options d’utilité sociale, des services ou un peu de bon sens.
Comme dans beaucoup de domaines aujourd’hui – et celui de l’habitat collectif ne lui échappe pas – il faut présenter des solutions disruptives, même si elles sont à priori – déstabilisantes.
Le bâtiment est techniquement plus exigeant dans la majeure partie de ses éléments constitutifs. Il fait volontairement l’impasse totale sur certains éléments, qui peuvent être créés par une construction annexe et indépendante, financée par l’Autorité qui les exige.
Il est répétitif, duplicable et donc convient aussi bien ici qu’ailleurs. Le fonctionnement y est optimalisé, un peu comme dans les Airbus lorsqu’on a introduit partout les mêmes manettes de commandes.
On retrouvera dans chaque bâtiment la même configuration et les gens s’y retrouveront rapidement.
Ceci permettra – même dans ce bâtiment de base – de trouver des fonctionnalités auxquelles on ne s’attend pas.
LES RÉSIDENCES JESSEL apportent cet état d’esprit nouveau par la création d’un mode d’habiter différent.
LES RÉSIDENCES JESSEL – sachant qu’il vaut mieux prévenir que guérir – créent un esprit d’entraide, de proximité, l’esprit d’auto-entrepreneur social.
LES RÉSIDENCES JESSEL font de l’habitat un élément majeur de cette prévention des coûts sociaux.