UN TEMPS D’ARRÊT GÉNÉRAL POUR NETTOYER LES ÉCURIES
PRENDRE SON TEMPS, METTRE PIED À TERRE
Maintenant que les rapports concernant le COVID-19 sortent les uns après les autres, qu’ils ne laissent plus planer le moindre doute sur l’énorme escroquerie à laquelle nous avons été soumis.
Maintenant que malgré tout, aucune de nos autorités n’en prend la responsabilité, il est temps de stopper les moteurs et de mettre pied à terre.
Pour le COVID-19 et ses conséquences, certes, mais également pour tout ce que nous allons découvrir. Car si nos autorités ont été capables du pire dans ce cas dramatique, comment leur faire confiance pour le reste et notamment pour le domaine de la santé ?
LE DÉPARTEMENT DOGE
Dans ce but, un département a été créé aux États-Unis et est certainement la meilleure chose qu’ait pu faire un président-élu qui n’est PAS un POLITICIEN.
C’est le Department of Government Efficiency (DOGE) qu’on pourrait traduire par Département de l’Efficacité de l’État.
Ce département sera responsable des réformes structurelles à grande échelle, axées sur le démantèlement de la bureaucratie gouvernementale excédentaire, la réduction des réglementations excessives et la restructuration de plus de 430 agences fédérales.
Ce département, tâche accomplie, sera dissout le 4 juillet 2026.
Un véritable traitement de choc, qui sera, à n’en pas douter, appliqué vigoureusement. On peut s’en moquer (nos laquais de journalistes ne s’en privent pas), mettre en doute son achèvement ou comme une célèbre actrice américaine, mettre en cause le bon sens de ses auteurs.
Peu importe, car pour un socle très important d’humains, il est déjà trop tard et il est hors de question, irrévocablement, de retourner dans ce modèle passé de la société. Et c’est tant mieux.
EN QUOI CELA CONCERNE-T-IL DONC LA SUISSE ?
Lorsque cet électrochoc commencera à être appliqué, ce ne sera pas sans conséquences pour tous les pays, notamment ceux qui commercent avec les États-Unis. En réalité, nous ne pourrons pas échapper à un nettoyage en profondeur et radical de nos méthodes de gouvernement et de manipulation des électeurs.
Certains citoyens suisses le savent. On leur ment effrontément. Le système de santé est tellement peu crédible qu’il est hors de question pour eux de continuer à faire confiance aux autorités dans ce domaine. Ils verront très vite à quel point ils ont raison. Ils constateront que cela ne concerne pas uniquement le domaine de la santé.
Il y a dans tous les domaines un véritable nettoyage à organiser, nécessitant un remaniement total, de la manière de penser et de gérer les budgets.
EN QUOI CELA CONCERNE-T-IL DONC MON PROJET J E S S E L ?
JESSEL a été déjà conçu dans ce but. Il intègre depuis le début un nouvel ordre des choses. Je vous ai déjà dit qu’on ne construirait pas d’abri. Une fois que la guerre en Ukraine sera terminée, que les vraies raisons de cette guerre auront désigné les vrais responsables, nous pourrons prendre des décisions en Suisse.
Construire un bâtiment locatif meilleur marché est possible, comme d’avoir une nouvelle vision de la santé qui la rend abordable. C’est pareil pour tout, des transports en commun, aux zones et règlements de construction, de l’éducation aux retraites, une partie des gens ne rentreront PLUS JAMAIS dans le rang. Ils formeront un nouveau groupe, une nouvelle société. Vous êtes libres d’en faire partie ou non. Peu importe, il n’y aura pas d’obligation. Mais il n’y aura pas de demi-mesure.
Pour l’instant, je ne vois pas où nos autorités trouveront leur crédibilité et leur leadership. Un grand brassage et un très grand renouvellement sont devenus indispensables et urgents. Sans exagérer, on peut même parler d’une purge.
Croyez-moi, le DOGE, n’est qu’un début. Nous subissons tous les méfaits et les excès d’un géant bureaucratique qui nous pénalise. Les médias habituels sont en fin de vie. Ils nous mentent et censurent les points de vue qui ne leur plaisent pas. Ils ont triché, ils ont perdu. Moins de 30 % globalement de la population, moins de 10 % dans la franche la plus jeune, attachent encore de l’importance à leur point de vue. Les journalistes qui sont licenciés ne vous diront pas le contraire.
Ceux qui connaissent un peu les médias américains ne sont pas surpris d’apprendre que Joe Rogan fait 4 x plus d’audience que CNN et que MSNBC a une audience la plus faible depuis plus de 20 ans.
Si vous avez besoin d’un autre point de vue, peut-être serez-vous intéressés par les réelles raisons de la guerre d’Ukraine ? Pourquoi il n’y aura pas de IIIᵉ guerre mondiale, ni atomique, mais pourquoi cette guerre ne s’est pas encore arrêtée ? Les réelles raisons qui font qu’elle va l’être avant l’arrivée du nouveau président ? Pourquoi c’est ridicule d’acheter des avions militaires ou de construire des abris ?
Puis enfin, il sera temps de remettre en cause l’enseignement, le rôle et le travail des politiciens, celui des juges, le sens et le coût de notre armée, de nos très chers transports en communs, du financement de nos médias, de l’effroyable surcoût des communications, et bien d’autres encore.
Si réfléchir hors du cadre restreint des journaux et des chaînes de télévision vous intéresse, si les règles du jeu économique vous passionnent davantage qu’un résultat sportif, probablement, verrez-vous DOGE sous un autre angle.
Selon vos choix, que vous assumerez, vous resterez cantonnés dans ce qu’est aujourd’hui une grande partie de la société : une garderie… pour adultes.
UN PRÉSIDENT ÉLU SANS ÊTRE POLITICIEN. UNIQUE.
Si au contraire, un ou deux points vous sont devenus intolérables, vous vous retrouverez rapidement entourés d’humains désireux de créer et de partager un autre mode de vie sociétal.
Peut-être partagerez-vous un bâtiment JESSEL où vous pourrez opter pour un nouvel environnement social.
Mais comme on dit dans les films américains :
GO BIG OR GO HOME.
Ce qu’on pourrait traduire librement par :
VOIS GRAND OU VA-T’EN.
Besoin d’un peu de langage commun ?
Donne-toi à fond ou laisse ta place. Mets le paquet ou rentre chez toi. Casse la baraque ou casse-toi. Magne-toi ou tire-toi.
Vous avez compris : c’est maintenant ou jamais. Nous avons l’occasion de nous approprier notre vie sociale et de réaliser une nouvelle coexistence sans avoir dû passer par une guerre civile ou une révolution sanglante. C’est unique. Profitons-en.
Rendez-vous en 2025, pour une année pleine de nouvelles possibilités et de nouvelles collaborations.