Mon expérience du COVID-19
COMMENT EN EST ON ARRIVÉ LÀ ?
Je vous explique ce qui s’est passé en vous relatant mon expérience personnelle.
IL ÉTAIT UNE FOIS LE COVID-19
De façon intéressante, nous avons vécu une expérience humaine commune. Nous n’avons pas connu la Première Guerre mondiale, et la Seconde Guerre mondiale (remarquez que je ne dis pas la deuxième), s’efface petit à petit de nos souvenirs directs et indirects pour la plupart d’en nous.
De façon intéressante, nous avons partagé (lire subi) une peur collective provoquée par nos autorités et leurs laquais, les journalistes.
Les chiffres officiels du nombre de personnes infectées par le COVID-19 ont été communiqués. Ils ont été publics et largement répandus. Mais que veulent-ils vraiment dire ? Ont-ils fait l’objet de discussions ? Quel sens et quelle relativité leur donner ?
Leur seul objectif est de nous faire peur sans nous informer concrètement. C’est principalement la finalité et la raison d’être des informations de nos médias, squattés par les laquais de journalistes.
COMMENT PUIS-JE DIRE CA ?
Simplement en vous racontant une histoire, mon histoire. Rappelez-vous, tout commence par des chiffres, peu représentatifs et assez incompréhensibles.
Ces chiffres et ces graphiques sont aussi obscurs et inutiles les uns que les autres. Vous remarquez qu’il n’y a rien de modifié par le COVID-19 en dessous de 65 ans.
Alors pourquoi n’avoir pas détaillé le graphique pour les personnes de plus de 65 ans ? Est-ce pour faire peur ou, au contraire, pour ne pas dévoiler l’énorme et inqualifiable escroquerie ?
Que nous explique ce graphe ? R I E N. Jusqu’à 64 ans, pas de changement, et soudainement en bloc un énorme changement. Visiblement on se moque de nous.
Je ne comprends pas ces données, je ne sais pas pourquoi elles sont là. Je décide de persévérer et d’élargir mes sources d’information.
Je découvre une deuxième statistique : le nombre de cas actifs confirmés, de cas guéris et de décès.
Étonnamment, si c’est une pandémie, elle semble a priori moins grave qu’annoncé….
… d’autant que, pour la Suisse, le nombre de décès ne représente qu’une INFIME partie des cas actifs confirmés…
… et que le rapport entre les guérisons et les cas actifs confirmés est élevé.
Ce que confirme également le rapport entre les cas hospitalisés et les patients placés en soins intensifs.
L’occupation des lits des services de soins intensifs ne semble, à première vue, pas avoir augmenté de façon anormale en raison de la pandémie de COVID-19.
Rien de grave n’est donc à signaler, c’est juste une mauvaise grippe ?
Je crois, à tort, que tout reprendra comme avant, que les autorités et les journalistes le remarqueront et le commenteront rapidement.
Ces statistiques sont difficilement utilisables pour me faire une opinion. Ce qui est peut-être voulu. Mais un journal romand, 24 Heures pour ne pas le citer, va publier des chiffres plus intéressants car quasi journaliers.
UNE STATISTIQUE PAR TRANCHE D’ÂGE
Cette statistique chiffre le nombre de personnes hospitalisées et de décès dus au COVID-19 en Suisse par tranche d’âge.
Nous entrons dans le vif du sujet, enfin…, presque.
Enlevons à ces schémas, le total qui, avec son graphisme identique aux données, ne peut qu’induire en erreur.
Première information étonnante :
L’ÂGE MÉDIAN DES DÉCÈS EST DE 85 ANS. !!!
Cet âge limite est indiqué sur le graphe par mon trait en noir.
Pour mon histoire je me réfère aux chiffres du 16 janvier 2021
Chiffres intéressants, mais après relecture, j’ai cru qu’il y avait eu une erreur et j’ai donc, depuis mon île, pris contact avec 24 Heures.
Je vous raconte en détail ce que j’ai appris.
Tout d’abord j’ai sorti (et fait pivoter de 90°) le graphe des décès. Jolie courbe dont j’ai éliminé la dernière barre qui, si elle représente un total, ne doit pas apparaître avec la même forme, la même largeur et la même couleur que les autres barres.
Le total enlevé, j’ai demandé au journal éditant ces graphiques de m’expliquer pourquoi ceux-ci était calculés par période de 10 ans, SAUF pour la dernière tranche où justement on recense le plus de décès.
Je leur ai demandé de me donner les chiffres de 80 à 90, puis de 90 à 100 et une dernière tranche pour le solde. Cela peut paraître sans importance a priori, mais vous allez voir que cela fait toute la différence.
On m’a répondu qu’on ferait le nécessaire… ce qui n’a JAMAIS été fait et j’ai rapidement compris pourquoi.
Comment cela se passe-t-il lorsqu’il n’y a pas de COVID-19 ?
On remarque que le niveau et la qualité de la santé diminuent au cours des dernières années de vie, malgré tous les efforts déployés. Ce que confirment les statistiques internationales.
En Suisse l’espérance de vie en bonne santé est de 73 ans.
Lorsque ce n’est pas dû au COVID-19, de quoi, et quand meurt-on généralement en Suisse ?
J’ai comparé les deux statistiques (avec ou sans COVID-19) en mettant en perspective l’espérance de vie à la naissance. En BLEU la période de bonne santé, avant 73 ans, en JAUNE, les dix années après 73 ans en moyenne où la santé décline.
En attendant la réponse du journal qui ne viendra jamais, la réalité prend peu à peu forme. Les décès du COVID-19 en ROUGE sont en très grande majorité ceux de personnes ayant dépassé l’âge moyen de l’espérance de vie en bonne santé.
Cela est d’ailleurs confirmé par une petite phrase du journal qui explique que les décès du COVID-19 ont des raisons de cause préexistantes.
Pour obtenir des rapports de quantité plus précis, j’ai intégré la pyramide des âges de la société au graphe. La partie jaune est manifestement moins importante en quantité que la partie bleue. Mais dans cette partie, tout le monde finit par mourir. Avec ou sans COVID-19.
Puis j’y ai superposé les statistiques des décès dus au COVID-19.
Première remarque étonnante, l’histoire du COVID-19 se passe APRÈS l’âge moyen statistique de l’espérance de vie en bonne santé. Jusqu’à 73 ans, aucun soucis spécifique à se faire pour votre santé, avec ou sans COVID.
73 ans de vie sans souci.
Mais le plus étonnant est encore à venir. En effet, le journal fait état de l’âge médian des décès dus au COVID-19.
Qu’est-ce que l’âge médian des décès fixé à 85 ans selon l’article ?
C’est l’âge à partir duquel on décompte pour moitié le nombre de personnes décédées. Dans notre cas, la moitié des personnes décédées avaient moins de 85 ans, l’autre moitié avait plus de 85 ans. Cet âge médian est un chiffre statistiquement calculé et prouvé.
L’âge de 85 ans correspond à deux années supplémentaires par rapport à l’espérance de vie à la naissance. Si vous voulez devenir vieux, MOUREZ DU COVID !!! C’est ce que j’ai dit à ma fille au téléphone, qui se faisait du souci depuis l’autre bout du monde.
En traçant la ligne médiane, voilà comment se présente la répartition des 3717 décès dus au COVID-19 avant 85 ans. Vous remarquerez que la barre des 5356 décès, après 80 ans en réalité, n’existe pas. Dommage pour l’effet de graphisme.
Vous notez que les 5386 décès survenus après 80 ans, doivent 3717 décès après 85 ans (la moitié du total 7434 décès pour la Suisse sur la période) et 1 639 pour la tranche d’âge 80-85 ans. Ce qui donne le graphe ci-dessous :
Si l’on compare avec l’espérance de vie NORMALE, cela commence à devenir intéressant. Et nous n’avons toujours pas la répartition des 3717 décès survenus après 85 ans, répartition qui pourrait peut-être être faite par tranches de 5 ou 10 ans.
Vous remarquez que la grande barre des 5356 décès a déjà diminué et pourrait encore être modifiée, car elle comprend des décès enregistrés avec une autre unité de mesure.
Il serait intéressant de diviser la barre des 70-75 et 75-80 par 2, afin de refléter plus justement l’entrée dans l’âge de la vieillesse « douloureuse ». Je ne l’ai pas fait, car je suis avant tout architecte, et je ne connais pas les chiffres exacts.
Mais cela m’a permis de comprendre qu’on nous menait en bateau.
Après 85 ans, quelle que soit la raison du décès, la sagesse veut que nous devons nous y préparer et l’accepter. Certes, c’est plus facile à dire qu’à faire lorsque c’est le tour d’un proche ou le nôtre.
Lisez attentivement le texte ci-dessus. C’est édifiant. Quelle est la VÉRITABLE raison de la PEUR engendrée par nos politiciens et leurs laquais de journalistes envers les personnes de moins de 85 ans ? Il n’y en avait PAS.
Maintenant, nous savons que la pandémie n’en était pas une. Les chiffres et les données montrent que le COVID-19 n’a, de loin, pas été aussi catastrophique qu’on nous l’a fait croire.
Quelle était la partie connue, qui pourrait devenir un jour la preuve d’une escroquerie ? Ne devrait-on pas avoir un débat national réel ?
Sinon comment nous protéger d’un autre abus de pouvoir lié à n’importe quel autre mensonge ?
En attendant, profitons pleinement de la vie AVANT 85 ans pendant qu’elle est là et acceptons sa fin comme inéluctable.
CONCLUSION – nous n’en resterons pas là
Mesdames, Messieurs les autorités,
Mesdames, Messieurs les journalistes,
Vous vous êtes totalement disqualifiés. Sans vous accuser de haute trahison, d’abus de pouvoir ou de détournement de fonds, je vous accuse de ne pas avoir fait votre devoir. Plus grave, vous n’avez pas reconnu votre échec et vous n’avez montré aucun remords.
Après ces années de totale incompétence et de manque de dignité de votre part, je ne suis absolument plus disposé à vous accorder ma confiance aveuglément.
Aucun pardon ne peut vous être accordé à vous qui ne vous êtes jamais excusés. Tout le monde à le droit de se tromper, y compris les Autorités, mais votre arrogance ne fait qu’accroître votre incapacité.
Vous n’avez laissé aucune chance, permis aucune autre option qu’une soumission et une obéissance aveugle totale. Vous avez mal traité, jugé et condamné des citoyens jusqu’au Tribunal fédéral.
C’est le plus grave. Certaines personnes le savaient (et le savent encore). Ces personnes ne vont pas oublier. Elles ne rentreront pas dans le rang et n’oublieront pas. Et c’est tant mieux.
Vous n’êtes plus crédibles en ce qui concerne le traitement du Covid-19, certes.
Mais la perte de respect ne s’arrête pas là. Je ne vous reconnais plus aucune crédibilité dans la gestion de l’assurance maladie, (la *LAMAL pour ce qui concerne la Suisse) et du domaine de la santé en général.
Je ne vous reconnais pas aptes à gérer de façon autoritaire, bornée et incompétente les monopoles des domaines de :
- LA SANTÉ
- L’ASSURANCE MALADIE
- L’ÉDUCATION
- L’ARMÉE
- LES RETRAITES
- LES RELATIONS ET LES PRESTATIONS SOCIALES
- LES TRANSPORTS EN COMMUNE
- LA JUSTICE
- LE LOGEMENT
Sachez que nous avons un double avantage contre votre MONOPOLE de l’incompétence et de l’arrogance :
Nous avons un très large accès à une information facile, gratuite et non partisane.
L’accès à des données très complètes, en temps réel rend caduques vos doctrines d’un autre temps.
Ici le rapport final de 557 pages du Congrès américain. (Attention plus de 45 Mo).
Rien ne nous oblige à rester « coincés » dans votre système et sur votre territoire.
Après avoir accompli un tour du monde complet en 2024 en sept mois, je peux vous assurer qu’il existe des lieux très agréables et des pays très accueillants, même s’ils ne sont pas accessibles avec votre demi-tarif.
Mon domaine est le logement multifamilial, dit social. Je peux vous garantir qu’il est possible de construire des appartements :
- EN ABONDANCE
- DE MEILLEURE QUALITÉ
- MODULABLES
- NETTEMENT MEILLEUR MARCHÉ
Et que je vais le faire, avec ou sans votre accord.
Je vous explique cela et bien d’autres choses dans mes prochains articles.