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L’ARROGANCE DE LA SITUATION ACQUISE – YAM INVEST

L’ARROGANCE DE LA SITUATION ACQUISE

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L’HISTOIRE QUI SE RÉPÈTE ET QUI NOUS USE

A gauche : LA SITUATION ACQUISE – à droite : L’INNOVATION

QUAND LES TAXIS JAUNES INNOVENT

Vous connaissez, peut-être, l’histoire du maire de New York qui, en 2010, fait un appel d’offres pour renouveler les taxis JAUNES. Le directeur de FORD qui fournit ces taxis depuis des années ne s’inquiète pas, il améliore sa dernière voiture et va jouer au golf avec son banquier. La société FORD a pensé que l’habitude des New Yorkais suffisait à lui assurer son monopole et de conserver ce marché.

Plusieurs autres sociétés étrangères répondent à l’appel d’offres.

Le directeur d’une société, du bout du monde, qui ne connaît ABSOLUMENT RIEN aux taxis de New York, envoie une équipe « de petits jeunes » pour comprendre comment les usagers voient leurs taxis « emblématiques ». Ils font et refont des trajets en taxi, questionnent les usagers, les conducteurs et reviennent vers leur patron avec une « liste de détails » qu’aucun constructeur n’a intégrée dans son offre. Le directeur de NISSAN le fait, car il pense que ce qu’il apprend avec les usagers à New York, sera également valable pour d’autres usagers.

Il emporte le marché – US$ 1.3 Mia – des taxis jaunes. Ce qui met directeur de FORD très en colère. Mais c’est trop tard.

ON ATTRIBUE À EINSTEIN LA CITATION CI-DESSUS

UNE HABITUDE – MÊME AMÉLIORÉE – NE RÉSISTE PAS À UNE INNOVATION

Le CHALLENGER a placé les RÉELS BESOINS des clients avant tout : HUMAN FIRST

FORD n’avait aucun avantage à amener le changement, car il avait déjà le monopole des taxis jaunes de New York. Le changement vient d’un challenger. FORD n’était pas en position de contrecarrer ce challenger, sauf à user de privilèges qui ne feraient, au mieux, que retarder son échec.

L’innovation est d’autant plus rapide qu’elle est radicale, et d’autant plus radicale qu’elle prend en compte les préoccupations réelles des usagers. Le challenger pour prendre des parts de marché doit faire mieux, beaucoup mieux. En général il le fait en apportant une solution très différente et innovatrice.

L’histoire n’est jamais finie. Aujourd’hui une nouvelle société défie les taxis de New-York, en disposant d’un logiciel de conduite qui permettra – très certainement d’ici moins de 5 ans – de proposer des taxis jaunes sans conducteur. Ce logiciel le FSD pour Full Self Driving récolte actuellement les données. Il pourrait être rapidement utilisé dans la zone étendue de l’agglomération de New-York, sur n’importe quelle marque de voiture.

L’innovation est disruptive. Elle étonne. Elle dérange nos habitude. Elle nous sort de notre zone de confort. C’est son rôle. Elle nous pousse à nous remettre en cause. C’est normal car nous aurions plutôt tendance à « aller jouer au golf avec le directeur de Ford et son banquier ».

LE CHALLENGER FAIT TABLE RASE DES « BONNES RAISONS »

N’IMPORTE QUELLE HABITUDE PEUT ÊTRE DÉFIÉE ET REMPLACÉE PAR UN CHALLENGER

Cela ne vous fait pas penser à d’autres domaines ? Vous rappelez-vous de l’implantation d’une grande maison de meubles nordique en Suisse ? Des sociétés de téléphonie ? Un grand nombre de fournisseurs de services et de produits sont aujourd’hui à la veille d’un choc et d’une remise en question radicale. Ils ont manqué à leur devoir de considérer le client et la satisfaction de ses besoins comme un objectif principal. Mais les solutions existent et les challengers sont prêts à les proposer.

SI NOUS DÉSIRONS LE CHANGEMENT, COMMENÇONS PAR REFORMULER NOS RÉELS BESOINS.

Le challenger place les RÉELS BESOINS des clients avant tout. Le confinement nous a fait prendre conscience d’une inadéquation entre la réponse solidaire qu’aurait dû être celle de notre société et le traitement violent, inhumain, injuste qui nous a été imposé.

Cette «épidémie» apparaît être de plus en plus mensongère et inventée de toutes pièces. Ses blocages et ses restrictions ont faits des dégâts dont on n’ose à peine parler actuellement. Ils sont peut-être notre chance. Les relations sociétales actuelles méritent, comme les taxis jaunes FORD de New-York, une vraie amélioration.

Notre société mérite un changement disruptif. Créons avec une nouvelle vision externe, un nouveau modèle social. Et remplaçons l’ancien rapidement.

JESSEL – LE CONTRAT SOCIAL – HUMAN FIRST

Laissez-moi vous parler d’un film avec Charlton Heston : Earthquake (Tremblement de terre) que j’ai eu l’occasion de voir à la veille de mes vingt ans.

L’histoire est simple et somme toute banale. Un événement inattendu (tremblement de terre en Californie) change les règles du pouvoir. Il donne de façon soudaine les pleins pouvoirs à un groupe de personnes qui vont en abuser.

Du jour au lendemain un homme sans panache ni valeur se retrouve chef d’une milice et imbu de son pouvoir s’octroie une revanche. Il profite de régler certaines rancœurs personnelles contre une caissière de super marché qui avait refusé ses avances avant le tremblement de terre.

Cet accès soudain au pouvoir m’avait fait comprendre que :

  • le détenteur soudain d’un pouvoir va l’exercer de façon abusive, disproportionnée et souvent à son propre profit
  • le pouvoir qu’on lui donne est très difficile à reprendre, car il en a pris goût.

Ça ne vous rappelle rien ? Et en y repensant, c’est exactement ce qui s’est passé au niveau de notre système «démocratique». La pandémie n’a fait que rajouter une nouvelle couche de pouvoir, en créant une foule de nouveaux règlements et donc de petits chefs qui ont été ravis du pouvoir qu’ils ont acquis. Ils en ont abusé et ont toutes les raisons de ne pas vouloir rendre ce pouvoir.

Mais plus grave, cela m’a remis en mémoire et en cause une foule de soumissions, de compromis, d’acceptations, de cession de mon droit irrévocable à ma santé. Ma santé personnelle, doit rester en dernier ressort une responsabilité irrévocable pour chacun de nous.

REFORMULONS NOS RELATIONS SOCIÉTALES

Revisitons nos codes. Ne réutilisons plus nos codes en l’état.

Prenez les codes du bâtiment. Où que vous habitiez, il y a un code du bâtiment. Il spécifie en détail les meilleures pratiques pour chaque aspect de la construction. A moins que vous ne le suiviez à la lettre, vous ne serez pas autorisé à poursuivre le projet que vous avez en tête, qu’il s’agisse d’ériger un immeuble, d’ajouter une extension sur votre terrasse ou de créer une lucarne dans votre toit.

D’où vient le code du bâtiment ? On ne sait pas très bien. La seule chose certaine c’est qu’on l’augmente à chaque occasion. On incrémente les codes. On fait ça très bien. Le code du bâtiment est issu d’une bureaucratie, composée d’experts, qui ont rassemblé des éléments sur la base de choses que d’autres experts ont qualifiées de bonnes choses à faire. La boucle est sans fin.

On a donné du pouvoir soudain à des gens sans panache. Comme dans mon film. Ils ne vont pas nous le rendre. Le code a-t-il du panache ? un souffle ? Il n’est que punitif. Vous avez la réponse à mon exemple.

Le code – arbitraire – est la seule raison de ne pas avoir de maisons sur l’eau / JESSEL change les codes de l’habitat collectif

On trouve ce phénomène partout. Le code de la justice, et pire de sa procédure. Le code médical, qui a montré sa faillite dans la pandémie. Le code politique dont les résultats sur la longueur des cornes des vaches ou le triplement du prix des places de parc à Paris nous montrent la vacuité. Le code éducatif qui fait de 88.3% des Français des bacheliers dont 47.7% avec mention mais qui ont de la peine à vivre avec un salaire médian inférieur à € 2’000.-

CHIFFRES D’AVANT LA PANDÉMIE, MAIS QU’IMPORTE

Le Code de la route qui impose des peines d’emprisonnement pour des excès de vitesse alors que vous avez droit au sursis pour des cas beaucoup plus graves. Le code – très racoleur – des retraites qui laissent sur le carreau un trop grand nombre de personnes au gré des majorités du gouvernement. Le code du travail qui lutte âprement contre les nouveautés plutôt que de les intégrer. Le code du mariage qui intéresse de moins en moins de personnes. Le code informatique qui a pris une trop grande importance dans nos relations sociales au point d’en être le substitut.

Les utilisateurs sont pris trop souvent pour des numéros. Je trouve triste de passer ma commande sur un écran au lieu de m’adresser à une personne. Et je ne comprends pas l’avantage de manger au restaurant en compagnie de personnes plongées dans leurs téléphones.

Chaque code revisité à un énorme potentiel. J’ai beaucoup d’espoir pour la gratuité que fournit le domaine informatique. Google, par exemple, a apporté une plus-value de plusieurs milliards dont nous n’avons profité qu’en toute petite partie, par notre faute. Nous n’avons pas su utiliser le potentiel de nos smartphones, ni montrer à nos enfants le potentiel d’apprentissages qu’ils avaient entre leurs mains. Et ça ne fait que commencer.

Mais il y a aussi la possibilité d’une modification de la façon de travailler et de vivre. J’aurais certainement changé de travail si je n’avais pas pu dessiner mes plans à l’ordinateur (d’ici sur mon île au bout du monde depuis 2012). C’est également le marché qui est le plus défié par des nouveaux venus. Les solutions deviennent de plus en plus « open source » par une nouvelle génération d’inventeurs.

REFORMULONS NOS BUTS – NOS CODES SOCIAUX

Chaque immeuble JESSEL aura environ 70 RÉSIDENTS qui vont se choisir et se coopter. D’une grande disparité, ils se compléteront pour affronter la vie en formant une UNITÉ sociale de proximité. Ils rechercheront une diminution de la main mise de l’État et la récupération progressive des principales fonctions de son monopole (plus de privilège du dernier miles). Ils redonneront la priorité à la liberté de choisir différemment. On pourrait parler de réinitialisation politique de la société. C’est un engagement dans le cadre d’une restructuration sociale qui garantit notre liberté de choix et favorise la qualité d’entraide.

Les RÉSIDENTS JESSEL formeront le premier cercle social, solide, structuré et soudé, indispensable à l’entraide «conviviale». Ils partageront les forces et connaissances des autres Résidents et leur feront profiter des leurs. Cette communauté leur permettra de rester autonomes en très grande partie des grandes et lourdes structures étatiques.

Chaque RÉSIDENTS JESSEL assumera un rôle «social» dans la communauté. En retrouvant les nombreuses occasions de gentillesse, de bienveillance ou d’expressions de gratitude perdues aujourd’hui. Elles ne coûtent rien et servent de socle d’une relation sociale qui défendra ce niveau fondamental de courtoisie et de respect.

RÉINITIALISER UNE CONVIVIALITÉ NATURELLE

La société est devenue plus précaire maintenant qu’elle ne l’a jamais été. Pour se renouveler elle doit moins favoriser les réponses issues de réglementation que celles qui découlent d’un niveau de respect et de courtoisie de base. Cette nouvelle structure favorisera notre liberté et supprimera tout ajout gratuit et inutile.

PLAISIR DE REVIVRE EN SOCIÉTÉ

Ce que 70 résidents environ seront capables de faire au niveau des échanges et des connaissances permettra de réaliser des objectifs hors d’atteinte d’une seule personne. Mais qui seraient également hors de portée si on devait obtenir l’approbation « démocratique » de plus de 1’000 personnes. Cela donne à chacun une grande liberté et en même temps n’étouffe pas les solutions de type de «Galilée».

COMMENT RÉTABLIR CETTE COMMUNAUTÉ ?

A défaut d’être facile, c’est tout à fait possible. C’est d’abord un état d’esprit innovant, créatif et axé sur les solutions. Et il y en a. Il n’est pas question de retomber dans des codes sectaires ou chargés de propagande.

Vous avez certainement déjà des amis, peut-être une femme ou un mari, voire des enfants, des personnes à charge. Comment faites-vous pour les choisir et les réunir ? C’est naturel. Ca ne vous oblige pas de manger tous les jours avec tous vos amis. Vous savez qu’ils sont là.

Vous avez la méthode. Vous aller créer un groupe social. Vous serez aidé en vivant dans un bâtiment spécialement conçu pour cela.

VOUS AVEZ LE CHOIX, Y COMPRIS DE NE PAS FAIRE DE CHOIX ET DE RESTER AU STATU QUO

Mais ce n’est pas pour tout le monde. Si la gestion de la pandémie par nos autorités vous a plu, sachez que ça leur a plu également. Elles vont continuer dans le même sens. Vous allez adorer la gestion du reste de votre future vie sociale. Même équipe, même méthode, même incapacité.

J E S S E L – NOUS SAVONS QUE VOUS AVEZ LE CHOIX

J E S S E L : HUMAN FIRST