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J E S S E L – UN BÂTIMENT « SERVICE(S) COMPRIS » – YAM INVEST

J E S S E L – UN BÂTIMENT « SERVICE(S) COMPRIS »

Affiche dans les couloirs du métro de Singapour

NOS AUTORITÉS ONT MONTRÉ LES LIMITES DE LEUR COMPÉTENCE.

En nous renvoyant – de force et sous la menace d’une amende voir d’emprisonnement pour certains – « à la niche » (lire : travailler à la maison), les Autorités nous ont encouragées – après un passage chez IKEA pour un siège, un bureau, une table et certainement quelques bricoles – de reconsidérer notre vie.

Nous avons compris leur « maîtrise » relativement limitée des problèmes et la solidarité DIY (lire : do it yourself) nécessaire qu’il nous a fallu pour faire face à l’absence de considération. Elles ne pourront plus nous faire croire à leur rôle indispensable.

LE VRAI RISQUE – LEUR PERTE DE MAÎTRISE DES COÛTS SOCIAUX

En inventant et en imposant le confinement, les Autorités n’ont pas compris que le renvoi – brutal – des citoyens chez eux, allait leur coûter leur main mise sur la solidarité sociale. Quelque chose s’est brisé qui nous a désolidarisé à leur façon d’agir.

Un respect historique, même s’il était culturel, n’est plus.

Certes, mais il doit être remplacé par quelque chose de neuf, d’innovant. Une nouvelle solidarité la remplacera dorénavant, moins dépendante des Autorités, qui sera construite selon les besoins et la volonté et les gens, sur de nouvelles bases, sans passer par un système lourd et pénalisant.

J E S S E L – INTÈGRE – des services – À SON BÂTIMENT

Comprendre ce dont les autres ont besoin, se mettre à leur service, ce sera un exercice quotidien, une recherche permanente.

La répartition et la distribution des coûts sociaux, à l’ère du travail à distance, vont devoir être fondamentalement revues. Faute d’avoir pu résoudre de façon satisfaisante leur gestion, les Autorités, vont en perdre le monopole.

Le nouveau système grégaire est le vrai défi. Comment mieux vivre ensemble ?

La cohabitation chez JESSEL repose sur l’échange, fruit de la diversité des besoins et de leur subjectivité. Personne n’est autosuffisant, car nul ne peut se contenter de son propre travail.

Dans ces conditions, la valeur du travail « social » n’est autre que la valeur du service rendu à l’autre et les deux parties à l’échange sont gagnantes parce qu’elles n’ont pas la même appréciation de ce qu’elles donnent et de ce qu’elles reçoivent. L’économie chez JESSEL passe donc par un échange au service de la communauté.

LES COÛTS (dits) SOCIAUX

« Les prestations sociales versées en Suisse sont en forte hausse. Les bénéficiaires en ont reçu à hauteur de 206 milliards de francs (suisses CHF) en 2020, une année marquée par le Covid. C’est 20,4 milliards de plus qu’en 2019 » selon les premières estimations des Comptes globaux de la protection sociale de l’Office Fédéral de la Statistique (OFS) publiées lundi 14 février 2022. Ce qui représente une hausse de 11,1%, du jamais vu depuis 30 ans.

Si l’augmentation des coûts des prestations sociales en Suisse est la plus importante depuis 30 ans, il en va de même dans la plupart des pays européens. Mais plus que cela, la part des dépenses sociales, mesurée en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), a en outre atteint des niveaux records dans 16 des 22 pays observés. En 2020, elles représentaient 29,1% du PIB en Suisse. Leur part était plus élevée dans les pays voisins comme la France (35,3%), l’Italie (33,4%) et l’Allemagne (31,9%).

JESSEL – L’INNOVATION SOCIALE

Chez J E S S E L chacun aura deux activités, dont l’une sera uniquement au service de sa communauté, un travail « socialement utile ».

Le taux de travail à distance va continuer d’augmenter très fortement, passant de quelques pourcents avant le Covid à certainement plus de 50 % par la suite.

Il est aisé d’en comprendre les raisons. Comme pour la pellicule KODAK et le développement des appareils pouvant s’en passer, l’évolution technique est – clairement – du côté du travail à distance. Le potentiel de développement et la capacité à résoudre les problèmes – semblant insolubles dans le contexte présent – de retraites, de coûts des études et de logement, trouvent des solutions avec le travail à distance.

Il faudra en premier lieu que le travail à distance soit prévu et ne devienne pas un palliatif imposé dans l’urgence dans un cadre et des Autorités qui ne le toléraient pas quelques mois plus tôt. Cela deviendra naturel, un nouveau standard. Il se fera dans de nouveaux cadres. Actuellement (début 2023) plus de 40 pays déjà – et cela augmente tous les jours – offrent des visas pour venir y vivre et travailler entre 6 mois et 2 ans, parfois renouvelable, avec des démarches extrêmement simples.

La première réaction lorsque vous travaillez depuis l’étranger est le recul que vous acquérez par défaut : « Comment ai-je pu passer à côté de cette expérience ? » Car ce n’est pas tellement le travail qui change, mais l’environnement dans lequel vous faites ce travail. Et cela n’a rien à voir avec ce que l’on vous dit dans les vidéos YouTube, sur les blogs bien attentionnés ou les prévisions des Autorités.

Une fois essayé et validé, ce mode – parallèle – va se développer. Les futurs travailleurs « nomades » auront une tout autre vie que ce qu’ils ont étrennée pendant le confinement. Ils n’iront pas à l’étranger pour la même raison, avec les mêmes contraintes et les mêmes objectifs. C’est assez magique. Ces nouveaux travailleurs « nomades » vont augmenter très fortement et très rapidement jusqu’à devenir la norme.

Cela va entraîner un tout autre bouleversement. Actuellement, plus de 50 % des travailleurs à San Francisco sont des étrangers ramenés aux USA par les sociétés qui les emploient. Ces gens vont retourner dans leurs pays – en gardant pour la majorité leurs postes de travail – et ne seront selon toute vraisemblance pas remplacés à San Francisco.

Les sociétés ont compris qu’elles ont tout intérêt à recruter et engager ces mêmes personnes directement dans leurs pays d’origine.

Ce qui est vrai pour ces géants, l’est également pour des petites sociétés, voire très petites sociétés. La compétition est mondiale et il y a des milliers de personnes qualifiées et désireuses d’apprendre puis de faire le travail qui leur sera donné, sans bouger de chez elles. Ce qui est paradoxal, c’est qu’ainsi leur engagement, en restant chez eux, profite directement à leur communauté. Du jamais vu jusqu’ici.

Cela évidemment va poser d’énormes problèmes de retraites et mettre à mal la pérennité de nos privilèges de pays de riches en général. Sujet extrêmement délicat, j’en parlerai dans un autre article.

Ce que l’on peut déjà dire sans risque de trop se tromper, c’est qu’en validant les possibilités pour les gens de travailler AILLEURS, nos Autorités ont ouvert la porte à une concurrence qu’elles n’imaginent pas et à laquelle elles ne nous ont pas – car elles ne se sont pas – préparées.

Elles ont perdu pied et leurs avantages dont elles ont largement abusé vont fortement diminuer.

La comparaison des taxes, des impôts, des avantages et bénéfices, mais aussi des contraintes par les travailleurs nomades ne fait que commencer. Certaines provinces, villes ou pays ont compris et ont pris de l’avance. Une avance qu’il sera difficile de combler.

Travailler ailleurs veut dire être – beaucoup – moins soumis à la politique électoraliste et à court terme. Nous reprendrons en partie au moins les décisions sociales qu’on nous a usurpées.

Avec JESSEL, on verra beaucoup moins la retraite comme un couperet par exemple. Une partie significative des gens travaillera différemment et notamment pourra conserver une activité pour une partie agréable de leur occupation, leur permettant d’assurer un complément de retraite ainsi qu’un contact avec le monde.

Ils pourront s’intégrer dans une campagne et y rester pour leur retraite grâce aux technologies et au mode d’interaction.

Je vous parlerai du principe des années passerelles que j’avais présenté à la direction générale des CFF, sans succès.

Nous vivons une mutation SOCIÉTALE.

J E S S E L est pionnier dans ce domaine.
J E S S E L réalise un habitat qui a déjà intégré cette évolution.