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HOMO SAPIENS – CESSONS LE FEU – YAM INVEST

HOMO SAPIENS – CESSONS LE FEU

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CRÉONS UN NOUVEL ÉTAT D’ESPRIT GRÉGAIRE

Cessons le feu et créons un nouvel état d’esprit grégaire

J E S S E L – L’INNOVATION SOCIALE DANS L’HABITAT COLLECTIF

Cessons le feu. Nous pouvons faire beaucoup mieux que d’être les complices du système actuel. La raison du plus fort n’est PLUS la meilleure.

CRÉONS UN NOUVEL ESPRIT GRÉGAIRE.

Vivre en groupe est un phénomène que l’on trouve sous des formes très différentes. Qu’il s’agisse de nuée, de ronde, de « murmuration », de banc, d’essaim ou de troupeau, on parle d’agrégation.

L’esprit grégaire est un comportement qui pousse les individus à se regrouper par attraction réciproque. Les groupes doivent être distingués des foules, qui sont définies par un rassemblement d’individus sans affinités, recherchant uniquement les mêmes conditions environnementales.

Lorsque ce regroupement a tendance à devenir permanent, il développe de nombreuses relations sociales. Une espèce est dite sociale lorsqu’elle présente une communication réciproque de nature coopérative. Cette communication est définie comme l’ensemble des actions individuelles qui influencent la probabilité d’apparition d’un comportement chez un autre individu selon Wikipédia.

Évolution de la vie en groupe : Il existe de nombreuses classifications de la hiérarchie des niveaux de socialité. Cependant, on a tendance à valoriser ce que l’on comprend mieux, c’est-à-dire ce qui est proche de sa propre définition de vie en groupe. On a longtemps méprisé les agrégations qui échappaient à notre compréhension d’Homo sapiens.

Quelques pages de ma présentation de septembre 2019 à l’OFL

Les caractéristiques de la vie en groupe

La vie en groupe est établie lorsque les relations engendrent une synchronisation des activités, sans nécessairement une interaction préférentielle, entre les différents membres du groupe.

Les relations sociales sont la répétition de ces interactions, qu’elles soient positives ou négatives. On peut citer, sans être exhaustif : les relations par affinité, les comportements altruistes (ou au contraire les comportements malveillants), les déplacements collectifs et la communication. Leur fréquence et leur intensité entre les éléments du groupe permettent de différencier les niveaux d’organisation sociale.

Sans entrer dans une définition détaillée, la vie en groupe nous apprend vite que, face à une menace d’agression, il n’existe que 3 options : fuir, lutter ou se soumettre.

Le résultat a comme effet que des comportements de soumission et d’agression, voire de fuite, conditionne notre situation hiérarchique dans la société aujourd’hui.

Rien de très glorieux, ni de quoi se vanter ou de raisons se pavaner pour l’ Homo sapiens.

Heureusement, nous avons au cours de ces 60 dernières années eu accès à un nombre gigantesque d’informations et d’études qui, de Carl Rogers en 1968, à Arthur Janov en 1981, des expériences de Mère à Pondichéry dans les années 70 transcrites par Satprem aux études de Malcolm Gladwell, ont permis de mieux comprendre les relations humaines et d’étendre leurs possibilités de mise en groupes.

De ces expériences, hors des normes et aussi de beaucoup d’autres, nous avons voulu remédier à la pauvreté de l’offre de solutions réelles, concrètes et effectives dans l’habitat collectif.


J E S S E L : CE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE

Il y a beaucoup plus de caractéristiques et d’affinités qui lient, que de différences qui séparent, les êtres humains. Réunissons-nous autour de nos concordances et laissons vivre d’autres harmonies. Cela est possible – et déjà réalisé – en musique, rien ne nous empêche de le faire avec les religions, les styles de vie, les nationalités et les « races ». RIEN.

JESSEL ne veut pas être unique ou s’imposer. Il offre une autre façon d’envisager la vie en groupe. Pour cela, et sans prétendre en faire une hiérarchie académique, il propose son option, en partant de l’état initial existant, vers un état reflétant mieux l’évolution acquise ces 60 dernières années.

ÉTAPE N° 1 – ASSUJETTIS

Nous sommes soumis, quel que soit le système, et c’est l’état de départ dans lequel nous vivons tous (lire : subissons) la vie publique aujourd’hui. On pourrait comparer ce point de vue – sans jugement à priori – à celui que défend le chien face au loup dans la fable de La Fontaine.

Cet état, comme l’argumente le chien, possède certains avantages indéniables. Il est stable, prévisible, et pourvoit aux besoins de ceux qui s’y soumettent. On pourrait donner le titre – #tag serait plus à la mode – de gardiens du temple ou conservateurs de musée.

Cessons cette allégeance gratuite

Cet état a toujours existé et existera toujours. Il aura toujours ses convaincus et leur fournira éternellement, avec le même rapport de force, ses avantages (et ses inconvénients).

C’est le domaine des duels renouvelés. J’ai développé le sujet ici.

JESSEL pense qu’il existe aussi d’autres façons de vivre ensemble.

ÉTAPE N° 2 – ABSTENTIONNISTES

Le système est souvent malin et perfide. Il fait croire qu’il est unique et surtout qu’il est indispensable, que rien ne peut se faire sans ou en dehors de lui. En réalité, il agit plutôt comme un écran de fumée ou une drogue.

Cessons cette lutte inutile – l’arrogance de la (faible) majorité… – …. qui rompt la confiance des votants dans le système

Certains ne se laissent pas berner, ils ont compris que les solutions ne se trouvent pas – uniquement et exclusivement – à l’intérieur du système. Faute de pouvoir faire reconnaître leur vision, de la mettre en œuvre sans devoir l’imposer à d’autres – ce qu’ils refusent absolument de faire – ils décident de s’abstenir et de ne pas cautionner (lire : devenir complices) des décisions prises uniquement à l’intérieur du système.

Un petit calcul répété à toutes les élections ou votes (CH :votations), si avec une participation inférieure à 50 % des électeurs, il se dégage une majorité de 50,2%, quelle est la valeur du résultat ? Réponse : souvent les décisions importantes sont prises avec une toute petite minorité (aux alentours de 25 à 29%).

C’est une autre question importante. J’en ai fait un article complet ici.

Les abstentionnistes ne se reconnaissent pas dans ces choix et sont, pour cette raison, irrécupérables par le système. Il ne sert à rien de leur imposer de voter comme l’apprend le résultat du taux de participation suite à l’introduction du droit de vote des femmes.

JESSEL est majeur (maturité) dans ses décisions et ses prises de responsabilités, mais n’imposera JAMAIS son point de vue par – ou dans – un système avec lequel, seule la majorité (par le nombre) a le pouvoir de le faire. Avoir la majorité (50% +1) n’assure pas de prendre la meilleure solution. En comparaison, avoir la majorité (18 ans) vous assure d’être majeur et de pouvoir assumer vos responsabilités.

JESSEL revendique de pouvoir assumer ses responsabilités sans avoir à les imposer.

ÉTAPE N° 3 – AFFRANCHIS

Par chance, par choix ou tout simplement ne pouvant pas faire autrement – et tout en
vivant à l’intérieur du système – les affranchis ont réussi à être libérés du système (lire : reconnus comme n’étant plus esclaves) et de ses contraintes. On peut penser aux personnes – bien qu’en minorité – qui ne suivent pas strictement les règles du mariage, qui n’ont pas besoin d’être élus, valorisés par les médias, indépendants au niveau du travail.

Ils font partie du système sans en être esclaves. Ils ont pu se détacher des entraves et des liens, du collier du chien, du joug des croyances, des habitudes, des contraintes.

JESSEL proposera une situation aux personnes qui auront perdu les garanties promises au chien de la fable, mais qui ne peuvent pas devenir des loups.

ÉTAPE N° 4 – ÉMANCIPÉS

Bien qu’assez semblable à l’étape précédente, la situation des émancipés est assez solide, et reconnues par le système, pour leur permettre – sans avoir à obtenir un autre accord ni à prouver quelque chose – à vivre de façon autonome, autrement, sans ou en marge des règles imposées, et de la plupart des restrictions habituelles, mais – et c’est là toute la différence – en en assumant les risques.

Pour résumer, ils ont obtenu un ticket de sortie du chaperonnage du système. On peut penser aux premières radios libres, aux bénéfices d’internet, à la non-obligation d’avoir fait l’armée en Suisse et/ou d’en être gradé pour atteindre les fonctions dirigeantes des grandes sociétés suisses (on n’a même plus besoin d’avoir le passeport suisse).

C’est ce qui va arrive très rapidement pour un nombre grandissant de postes, de situations et de monopoles qui échappent simplement aux chaperonnages du système. (J’écris ce texte, nous sommes en juin 2023.)

JESSEL innove dans le domaine de l’habitat social. Les Résidents JESSEL auront la possibilité de s’émanciper en se libérant de certaines contraintes strictes du système. Ce ne sera pas un nouveau dogme, et ne s’imposera pas comme une solution unique, mais restera un choix PARMI d’autres.

ÉTAPE N° 5 – ENTREPRENEURS SOCIAUX

Cette étape est certainement celle qui est la plus difficile à comprendre. Cependant, on est TOUS déjà, à un degré ou à un autre, des ENTREPRENEURS SOCIAUX. Nous passons tous une partie de notre temps, de notre savoir et de notre joie de vivre pour la transmettre sans réelle contre-valeur autre que de vivre des expériences porteuses de sens.

Publicité dans le métro de Singapour – JESSEL : faire un choix – Des pompiers de l’Arizona éteignent un incendie mexicain par-dessus le mur

JESSEL en valorisant ces aspects, accueillera – par cooptation – les Résidents sur un modèle assez simple, performant et ayant déjà fait ses preuves.

ÉTAPE N° 6 – AUTO-ENTREPRENEURS SOCIÉTAUX

Ce sont des personnes qui deviennent RÉSIDENTS JESSEL avec une responsabilité sociétale choisie et acceptée et acquièrent un droit d’habiter. Ils vont repenser l’esprit grégaire. Les RÉSIDENTS JESSEL seront le moteur de l’innovation sociétale.

De nouveaux modèles de coopération © sur des schémas de M. Grandjean

Le domaine est neuf. Même s’il a été monopolisé longtemps par des sciences en « ..ologie », et qu’il connaît un regain d’intérêt passager grâce à des enseignements de réseaux, tout est à faire. Il s’agit de passer aux travaux pratiques en vivant et partageant concrètement cette aventure humaine.

JESSEL offre les bases pour repenser l’esprit grégaire et l’appliquer quotidiennement dans l’habitat locatif.

Peut-être qu’un jour, vous choisirez de rejoindre un groupement, non seulement par votre situation financière, ni par vos connaissances techniques ou intellectuelles, mais par vos capacités relationnelles, vos dons d’établir des ponts, de créer une équipe et de la faire vivre au quotidien, votre envie de sens.

C’est ce que nous vous souhaitons. Bienvenue dans l’aventure JESSEL.

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J E S S E L – HUMAN FIRST