édité après beaucoup d’interrogations et de modifications le 30 septembre
LA POLITIQUE SUISSE S’EST PRIS UNE BAFFE DANS LA GUEULE

@ 21252935-v1-parmelin-sinquiete-de-la-chute-de-la-consommation-dalcool, image tirée du Blick/lifestyle/ du 24 septembre dans lequel on apprend l’augmentation des primes d’assurance maladie.
LA GUEULE DE BOIS
Le 1er août 2025, la Suisse se réveille avec la gueule de bois et s’étonne. Elle découvre, ingénument, les droits de douane imposés unilatéralement par les États-Unis. Notre gouvernement est sous le choc. Les journalistes font leurs petits cacas nerveux habituels.Cela me donne un très grand espoir. Je me dis qu’enfin quelque chose va se passer, qu’on va prendre conscience que quelque chose doit changer.
Le 7 août 2025, la Suisse n’en revient pas, ce n’était pas un cauchemar. L’étonnement se transforme en perte totale de repères. Les droits de douane pour les États-Unis ont été confirmés. Notre gouvernement est abasourdi. Les journalistes font leur petit cirque de convenance. Là, je comprends qu’il n’y a plus d’espoir. J’espère encore que nos politiciens vont, face à leur échec, limiter leur arrogance. C’est ce que ferait tout bon chef d’entreprise dans un cas semblable.
J’AI TOTALEMENT TORD
Le 24 septembre 2025, les Suisses reçoivent leurs primes d’assurance maladie obligatoire pour 2026. Les augmentations qui leur sont dévoilées confirment que le gouvernement suisse n’a rien compris, rien changé.
Malgré sa gestion crapuleuse du COVID-19, le fiasco des vaccins, sa politique hypocrite et fallacieuse de la santé, le gouvernement suisse ne veut rien apprendre de cette crise. C’était sa dernière chance pourtant d’une remise en question, lui permettant de reprendre et d’assumer ses responsabilités dans le domaine de la santé.
Face à une inaptitude récurrente des politiciens, les journalistes (lire : leurs laquais) ne trouvent rien de mieux pour expliquer cette hausse, que mettre en cause le salaire des directeurs des caisses maladie. Pathétique.
Après la pandémie, une partie des Suisses qui attendaient toujours des excuses et des explications du gouvernement, se sentent abandonnés. Ils comprennent définitivement que leur gouvernement actuel ne leur offre aucun espoir d’amélioration.
Traiter correctement le problème de la santé et de l’assurance maladie à ce moment de l’histoire était sa dernière chance de réhabilitation. Il en allait de sa crédibilité et de sa survie. Il n’a pas su saisir cette dernière occasion.
Suisses qui venez de recevoir vos primes d’assurance maladie, sachez que cette façon de faire ne va pas durer. Croyez-moi.
LES POLITICIENS SONT RESPONSABLES, MAIS NE VEULENT PAS LE RECONNAÎTRE.
Le 27 septembre 2025, ils apprennent que les États-Unis appliquent aux médicaments un surcoût de 100 %.
Leur Président, nouvellement élu, plébiscité par ses électeurs, a reçu un mandat clair. Il doit nettoyer dans les profondeurs les abus laissés par les politiciens qui l’ont précédé.
Même si, comme je l’ai dit dans l’article précédent, je ne suis pas d’accord avec son côté guerrier, je lui trouve du génie. Il est en train, lui et son équipe, de faire ce que le gouvernement suisse promettait de faire, sans jamais tenir parole.
M. TRUMP N’EST PAS POLITICIEN DE MÉTIER.
Cela fait certainement toute la différence. Des citoyens-électeurs l’ont nommé président contre l’engagement d’un grand nettoyage, en profondeur. Et chose assez extraordinaire en politique, il est en train de tenir ses promesses.
Il est le seul dirigeant à s’être attaqué aux racines du problème, à l’escroquerie des coûts de la santé. Un problème très grave qui n’a jamais été traité par aucun autre politicien. Lui ira jusqu’au bout. Il n’y a aucun doute là dessus.
Il découvre petit à petit l’ampleur des abus, les raisons des passes-droit, les rend publics officiellement et s’y attaque. Il utilise pour se faire l’arme des taxes douanières. Il le dit très clairement, mais le gouvernement suisse ne comprend pas. A croire qu ’on ne lit pas les journaux américains à Berne.
On peut certes discuter sa façon de faire. Mais il est le seul à s’attaquer à l’arnaque du COVID-19, l’escroquerie des prix des médicaments, des commissions occultes versées par les industries pharmaceutiques aux médecins. Il coupe des budgets de développement de nouveaux vaccins et a fait officiellement savoir qu’il ne tolérerait plus les dérives du système de santé.
Il entend faire pression sur les pays protégeant leurs industries (pharmaceutiques) plutôt que de régler le problème de l’abus subis par les citoyens. La Suisse ne veut rien savoir. Elle va apprendre à ses dépends ce qu’il en coûte.
LES POLITICIENS SUISSES SONT DÉBOUSSOLÉS
Les politiciens Suisses qui n’ont jamais voulu faire le ménage chez eux, ne comprennent pas. Leurs petits «arrangements» habituels ne fonctionnent plus. Ils ont pris l’habitude d’une certaine «complaisance» avec l’éthique de leur fonction en s’accommodant de «compromis» et de «petites manœuvres».
Leur vérité est souvent très «souple» et leur permet de ne jamais vraiment traiter le fond des problèmes. Lorsqu’ils sont mis en face de la réalité, ils sont pris au dépourvu, sans solution de rechange.
Ces dérives, dont les politiciens au pouvoir ne se formalisent plus, les ont amené dans un cul-de-sac. Car les mensonges proférés aux citoyens, qui s’y étaient habitués en temps calme, ne passent plus depuis le COVID-19. Les Suisses finiront par découvrir pourquoi les politiciens leur imposent une vision mensongère sans aucune autre possibilité de choix.
Sachez que cette manière de faire est extrêmement LUCRATIVE pour :
- les POLITICIENS
- les JOURNALISTES
- les MÉDECINS
LE GOUVERNEMENT SUISSE NE VEUT PAS TUER LA POULE AUX ŒUFS D’OR.
Le nouveau Président des États-Unis a relevé le défi. L’équipe dont il s’est entouré est brillante et déterminée à faire appliquer et respecter une nouvelle vision de la santé, centrée sur l’humain. Elle ne fera aucun compromis car les électeurs ne veulent plus d’abus «politiques», spécialement dans le domaine de la santé et des médicaments.
Elle s’est engagée à nettoyer radicalement et en profondeur la main mise d’une certaine mafia sur le domaine de la santé et de la médecine. Elle adopte des règles radicales et impose des modifications majeures en fonction d’un seul objectif : défendre la santé du citoyen. Chaque jour elle prouve sa détermination à atteindre son objectif.
Il y a beaucoup à faire, mais semble-t-il c’est en train de se faire en profondeur. Parce que les électeurs sont fatigués de l’immunité, de l’irresponsabilité, des mensonges et de l’ingérence des politiciens dans leurs choix de santé, qui ne les regardent pas, mais qu’ils monopolisent en raison de l’argent qui leur est versé.
En Suisse, les politiciens se trouvent dans une situation peu enviable. Ils n’ont aucune envie de changer. Ils pensent pouvoir faire comme ils l’ont toujours fait et que la volonté des électeurs, ça se négocie . La politique est trop sérieuse pour leur laisser le choix et la parole.
Le COVID-19 a démontré que ce n’est plus le cas. Ces dérives politiciennes sont allées trop loin. Les gens sont révoltés. On a bafoué leur santé. Ils se sentent trahis. Ils veulent des résultats.
IL NE S’ATTENDAIT PAS A CE QUE LA VÉRITÉ LUI SOIT IMPOSÉE PAR L’EXTÉRIEUR.
C’était l’ultime occasion pour le gouvernement de réformer les coûts de la santé et ceux de sa politique sociale, d’assumer la responsabilité du COVID-19, de régler l’inefficacité de l’assurance maladie suisse en changeant de politique.
Mais il ne le fera jamais.
Les politiciens suisse n’ont pas compris. Ils viennent de rater le dernier moment où ils auraient pu le faire sans perdre la face. Le prochain modèle de gestion de la santé se fera sans eux. Il sera incomparable, meilleur marché et mieux adapté.
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Je vous donne un dernier indice.
On peut aimer ou pas M.Trump. Je l’ai dit, je ne partage pas certains aspects belligérants. Je lui reconnais cependant une vision personnelle dont il défend la cohérence jusqu’au bout. Monsieur Trump, pour des raisons familiales, tristes et personnelles est abstinent.
Était-ce raisonnable d’envoyer un vendeur d’alcool qui «regrettait que les Suisses ne boivent pas plus d’alcool» pour essayer de le convaincre d’accepter sa façon de traiter la santé !?!
Au mieux j’y vois une faute de goût, un total manque de tact, de respect et d’éducation, au pire une arrogance doublée d’une incompétence à traiter les problèmes autrement qu’en favorisant toujours les lobbyistes au détriment des électeurs.